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| Les passages de Torah sont soigneusement écrits à la main par un sofer (scribe).Sofer vient du mot "compter" en hebreu parce qu'il compte les lettres de la thora. Un sofer doit être encore plus craignant de D... qu'un abateur (shochet) - parce qu'un shochet qui commet une erreur nous fais transgresser un commandement négatif sur un animal seulement, pendant qu'un sofer qui commet une erreur nous empêche de remplir le commandement positif de la pose des Tefillins chaque jour et à cause de lui le non de D... sera prononcer en vain (en bénissant sur des tefillins qui ne sont pas cachères). Afin de devenir un bon sofer, on doit s'entraîner beucoup à la pratique de l'ecriture mais aussi à la préparation de la plume d'oie et du parchemin. Il doit parfaitement maîtrisé les halachot (les lois) de "Stam" (l'écriture des rouleaux de Torah,des Tefillin et des Mezouzots). Il est important qu'une telle expertise soit d'abord approuvee par une autorité Rabbinique.
Les Sefaradim ont l'habitude d'utiliser un roseau pour écrire les versets tandis que les Ashkenazim écrive avec une plume.
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Il est impératif que les versets soit écrits dans l'ordre correct - Kadesh (Sanctifier), V'haya Ki (Quand Il vous amènera sur la Terre) ,Shma (Entend ô Israël), et V'haya Im (Si vous prétez l'oreille). Si les versets n'ont pas été écrits dans cet ordre, ils sont inacceptables, et doivent être mis à la genizah (enterrés). Les lettres et les mots de chaque passage doivent également être écrits dans l'ordre dans lequel ils apparaissent dans la Torah. Ceci est une loi qui s'applique seulement aux Tefillins et aux mezouzot, mais pas aux rouleaux de la Torah. Le sofer écrit avec une encre produite à base de des bile-noix et de vitriol bleu. Il écrit sur le parchemin qui est en fait du cuir traité dans de la chaux et du sel pendant toutes les étapes de l'extension, du polis et du lissement de la peaux. |